De terribles révélations

Irildë cherchait la grotte de l'espoir car se genre de lieux mythiques l'attiraient. Arrivée devant la grotte elle fut ébahi par sa beauté. Elle y pénétra et contempla les parois magnifiques de la cavité. Soudain une étrange impression se saisi d'elle. Elle entendit une voix familière et se retourna. Elle pu contemplé pour la première fois depuis de longues années le visage de son père. Elle s'avança vers lui avec un sourire euphorique mais brusquement une pointe noire le transperça et à nouveau elle vit mourir son père. Des larmes jaillirent de ses yeux et elle poussa un terrible miaulement. Son père s'effondra et son meurtrier lui apparu plus nettement que jamais. Il s'approcha de la jeune fille et lui dit :
* Combats-moi sale mioche ! *
Irildë décrocha sa clef et s'élança vers lui. Il l'envoya valser contre la parrois et elle s'effondra l'homme vint vers la jeune fille, se baissa et lui souffla à l'oreille :
* Toi aussi tu vas mourir. Domage une si jolie jeune fille... *
Il posa son pied sur sa poitrine, leva son épée et ...

[quelle insomniaque ^^]

Il posa son pied sur sa poitrine, leva son épée et ... hurla de douleur.
Il se pris le poignet sans lâcher son arme qui tremblait néanmoins, une longue flèche y était plantée, ayant coupée tendons et ligaments.

Mais il était résolu et oubliant sa douleur, il repris son arme avec son autre main et releva son épée pour frapper...

Aie, ça se présente mal. Je ne peux pas atteindre ce bras sans la toucher. Il faudrait que.. Non !... je n'en ai jamais été capable sur quelqu'un d'autre...mais je n'ai pas vraiment le choix...

Pour Irildë, le bras descendait lentement, avançant au ralenti, elle se sentait...bizarre, comme si son corps ne pesait plus rien, ne ressentait plus rien non plus.
Et quand le bras s'abattit avec violence, la lame traversa la chair sans rencontrer de résistance, et sans causée aucune blessure, de la même façon que les armes ne pouvaient causer dommage aux fantômes des comtes.

Emporté par son élan, l'homme [c'est un homme ?] tomba par terre, son arme, enfin les morceaux de son arme brisée, s'éparpillèrent tout autour de lui.

Un peu plus loin dans la grotte, Aëlius tomba à genoux, le souffle court et le corps parcouru de tremblements, mais intérieurement, il jubilait.
J'ai réussi ! J'ai enfin maitrisé cette @#@ !!

Irildë se releva choquée et se tourna vers Aëlius qui reprenait son souffle. Elle s'approcha de lui, le remercia et lui fit un large sourire. Elle lui devait la vie car si il n'était pas intervenu elle serait morte.
Soudain un hurlement terrible parvint à ses oreilles l'homme n'était toujours pas hors d'état de nuire. Elle ne savait que faire alors elle se servit de ses pouvoirs. et envoya une minuscule boule de feu à l'homme. Elle aurait souhaité qu'elle fusse plus dévastatrice mais elle ne maitrisait pas du tout ses pouvoirs...

En effet, malgré la boule de feu, l'homme se releva lourdement, sortant une dague de sa ceinture.

"Stop, cette fois se n'est pas la main que je vais viser !"
dit Aelius le souffle court tout en ramassant son arme.

Il se releva lui aussi en prenant appui sur une paroi.
Sa ballade nocturne s'était plutôt bien déroulée, mais il ne s'était pas du tout attendu à rencontrer quelqu'un,
encore moins quelqu'un de belliqueux.

(Désolée pour le retard !!! )
Elle décrocha sa clef et concentra son énergie dans ses jambes. Elle se mise en position d'attaque et attendit que ce sale type soit à bonne porté. Aëlius se battait déjà.
Soudain elle fila vers eux et bloqua la dague de l'homme. Elle lui donna une gifle du plat de sa clef et il s'effondra.
Elle se tourna vers Aëlius et lui demanda comment ça allait.

Mon 200ème message



Vive les chats ^^

[qui est en retard ?]


"Je vais bien et toi ? Pas blessée ?"

L'homme était à terre et ne bougeait plus, il s'approcha précautionneusement, en fait il ne bougerait plus jamais, ce qui le rassura.

"Qui est-ce, enfin, était-ce ?


[je dirait même plus, vive le chats mignons !]

Irildë raconta comment son père était mort tué par cet homme à Aëlius. Bien sûr elle s'enfonça un peu trop dans le sujet et au bout d'un certain temps elle se tut. Elle s'était rendue compte qu'elle était devenue ennuyeuse.
Soudain elle se leva et s'approcha de la dépouille du meurtrier de son père. Elle le regarda bien en face et remarqua qu'il ne s'agissait pas de la bonne personne mais d'un des soldats qu'il "utilisait" à des fins meutrières...
Il avait usé d'une permutation pour éviter de mourir. Elle avait tué un homme qu'elle ne connaissait pas.