Escarmouche propice aux bonnes nouvelles^^ [RP privé]

Olanir qui suivait une troupe de royaliste, les observait, afin de percer leur point faible, et d'apprendre leur appartennance. Ils arboraient des couleurs bleu, ceux de la mer, Olanir devina leur embleme, c'etaient les elfes marins, mais que font-ils a terre.

Olanir les suiva essayant de deceler une faille dans leur coordination, mais fut interrompue par d'autres phenomennes. Pendant que l'elfe sylvain observait le mouvement des royalistes, un nuage de poussiere s'elevait a deux kilometres de sa position, grâce au pin, il remarqua un mouvement rapide, soit une horde de chevreuil, soit des montures lancés au galops. Une odeur de sang et de sueur lui vint aux narinnes, Olanir descenda de son perchoir, pour mettre pied a terre a côté de son cerf lui servant de monture, les elfes marins continuaient d'avancer a pas lourd sur le sentier, le même emprunté par les nouveaux arrivant.

Une oreille plaquée au sol, Olanir compta six cheveaux lancé a vive allure. Pas de doute, une cavalerie legerre vennait a lui, et de même aux royalistes. Le tout etait de savoir si ils etaient allié, ou adversaire aux royalistes. Olanir remonta la colone du regiment sans se faire detecter parmis les arbres et les epais buissons, il grimpa sur une grande branche de chêne, sortit son arc, plaça une de ses fleches royalistes, et attendit de connaître l'origine des arrivant.

Cavalier au galop, odeur de souffre flotant dans l'air, c'etaient des mage controlant le pouvoir du feu, des sorciers. Les sorciers etant connue comme etant les anti-royaliste, Olanir decida de voir la suite avant d'intervennir. Le cavalier en tête leva vivement son arme, brillante au soleil brandit au dessus de sa tête, immité par les autres.

Celui qui semblait le menneur chargea les elfes, qui se preparaient, lancier en avant, et quelques archers en arriere. La cavalerie chargea le groupe d'elfes, dont sept perrirent sous le choc des montures, et sous le choc des armes des cavaliers, mais ceux-ci furent vite encerclé par les elfes. Les lanciers les tennant en joue, pres a perforré la chair des montures, et leur maître.

Olanir décocha sa premiere fleche, comme a son habitude, sous l'oreille du capitaine elfe, qui commandait ses soldats. Une deuxieme flehce par contre se planta entre les yeux du capitaine qui vennait de lever son regard vers lui, maitenant sans vie. Leur capitaine en moins, les soldats perdirent le contrôle de leur coordination.

Olanir en profita, pour tirer cinq autres fleches, tuant ainsi tous les archers elfes. Maintenant, Olanir se decida de se battre arme au poing, il saisit sa lance, et se jetta du chêne pointe dressé sur l'elfe qui s'appretait a atteindre le torse du menneur des sorciers occupé avec deux autres elfes, Olanir le perforra, et se retourna vers celui a qui il vennait sauver la vie.

- Bonjour, sorcier, je voie que vous avez peut-être besoin d'une arme secourable !

Olanir qui fut arrivé a temps, mit a terre tous ses adversaires, aidés par les cavaliers sorciers. Le combat enfin terminé, Olanir se dirigea vers celui a qui il vennait de sauver la vie. Celui-ci semblait véxé, car apres quelques questions Olanir sentit le froid de l'acier autour de son cou, apparament les elfes n'etaient pas apprecié ici, qu'ils soient marins ou sylvains.

Olanir jetta un coup d'oeil, les sorceris l'encerclés, il etait a leur merci, enfin c'est ce qu'il fit penser juste avant une petite incantation qu'il fit dans sa tête fixant des yeux le sol a ses pieds.

Alors d'enorme racines sortirent de terre, élevant Olanir au parmis les arbres, et les sorciers qui restaient en bas, épée toujours pointé au centre de la racine qui avait permis a Olanir de leur échapper.

- J'espere que vous ne voyez pas de probleme a ce que je vous parle de ma racine ?!

Olanir regarda avec un sourrire, le chef des sorciers, qui le regardait d'un oeil, rougie par le feu magique qui commencait a danser en lui.

- Je suis Olanir-Tirì, je suis un elfe sylvain comme vous le voyez, et je n'apprecie pas les gens du royalisme, je viens de vous sauver la vie sorcier, je ne demande rien en retour, je me bat contre les royalistes vous aussi et c'est ce qui vient de vous sauver aujourd'hui vous et vos sorciers.

Olanir regarda les sorciers autour de lui, il les regardaient de haut, mais eux semblant aussi grand que lui, surment un effet de leur magie .

- Je viens de nul part, et je repart nul part, les forêts sont mes demeurres, et je les proteges. Contre les humains, les royalistes et tous ceux qui ne respecte pas ces domaines.

Olanir s'assit sur sa racine toujours fixant le menneur du feu le jugeait de ses capacités, que voulez-t-il, pourquoi ne s'en aller partir ?

Olanir tomba lourdement apres le sort du sorcier, il etait evidant qu'un sorcier use de son feu, pour combattre un sylvain. Olanir tomba de sa racine et resta au sol, sous le choc, attendant les épées sous sa gorge, mais quand il ouvrit les yeux, c'etait une main qui etait sous son nez. Olanir la saisie et se releva agilement se mettant face au sorcier, qui lui proposa d'entrer a son service.

- Ce serait avec joie de combattre a vos côtés, mais je suis plutot indépendant, je veut bien travailler et combattre pour vous, mais je tiens a garder une libertée de mouvement, en restant le plus possible dans les forêts, en echange de cette permission que j'esperevous comprendrez, je ne vous quemanderez point d'argent.

Olanir alla vers son cerf et monta dessus avec douceur mais adresse, mit son arc en bandouillere, sa lance dans le dos, et s'approcha de son employeur.

- J'accepte avec joie de vous servir, mais il me semble que connaître votre nom, me permettra de vous joindre plus facilement si vous m'appelait.

Olanir sortit de son sac, un drôle morceau d'ecorce de boulot, qui formait un cornet, avec une brindille dans un petit orifice.

- Tennez, cette corne de boulot vous permettra de vous faire entendre, j'ai l'oreille fine, et le pas rapide, soufflez de-dans et j'apparaitrai.

Olanir dépossa la corne dans les mains de son seigneur.

Olanir voyant les sorciers aux ordres du nommé Evans, se servirent de l'argent et des fleches des cadavres, s'empressa de ramasser ses propres fleches au symbole royaliste, les seuls fleches qui devront servir a tuer le plus de royaliste, et si l'occasion se réalise, tuer tous les souverains responsable de la mort de ses parents.

Evans proposa alors à l'elfe de l'accompagner à Gilond, Olanir reflechie, il ne savait pas où se trouvait Gilond, où qu'il aille, il lui fallait au moins un arbre en bonne santé.

- Gilond ? Je ne connai pas, je voudrai savoir si la vegetation de cette ville est importante, ou inexistante, car sans vegetation, je perd une grande partie de mon pouvoir, tant que les pavés ne recouvrent pas entierrement la terre, et que de grand arbres soient proches, je vous accompagne !

Olanir qui voyagea aux côtés de son superieur, se dirigea avec les sorciers, à Gilond, qui apparament se situait en bordure de côte, mais tant que la vegetation y est presente, Olanir se s'inquietat pas.

Evans lui demanda alors en route, la raison de son intervention, qui leur avait servie de rencontre, apres la petite boucherie amicale des sorciers et de l'elfe.

- Si je suis intervennue, c'est que je hais les roylaistes, eux-même sont la raison de la perte de gens proches, et je ne puis supporter être au service de l'assassin de mes parents.

Olanir s'etait redréssé, une haine vennait de le faire grandir, en pronnoçant ces mots a la fois soulageante, mais prennant aux tripes.

- Je m'appretai a leur tendre un piege de braconnier que j'ai etudier, et se revelant utile contre des êtres de tailles elfique, mais au moment où je pensai commencer à mettre en place ma strategie, vous êtes arrivé. Et comme vous me l'ayeez signalé plustot, les ennemies de mes ennemies sont mes amis !

Olanir continua a allure reguliere, a voyager sur le dos de son cerf, il se demandai pas mal de question sur le fait qu'un sorcier ne l'ai pas tuer, justement pour être un elfe.

- Et pourrai-je connaître la raison de la haine qu'anime les royalistes a votre egard ?

Olanir regarda son superieur d'un air surpris, il se marrait tout seul apres avoir annoncé qu'il ferait la paix, apres une tuerie de pirates. Olanir reflechie a la proposition de Evans, le mettant a la place d'un responsable ennemie.

- Il me semble que les pirates oeuvres sur mer et non sur terre, je prefere ne pas quitter la forêt !

Olanir parcourrait toujours son chemin accompagnait des sorciers, ceux de derriere etant etrangement calme et silencieux. Olanir reflechioe, tuer des pirates ne le derengeai pas plus que de tuer des elfes royalistes, mais en y reflechissant, pourquoi ne pas contrôler les pirates, en les achetant comme corsaire ?!

- Escusez-moi d'avance pour ma curiosité, souverain, mais ne pourriez-vous pas joindre les pirates a votre cause en leur promettant un echange avec eux, vous pouvez les autoriser a piller certains ports ne vous appartenant pas, affaiblissant ainsi la position de certains royaliste, et ainsi en profiter pur augmenter votre force, et en finir avec les royalistes ! Sinon, les combattres a vous seul, vous serez faible d'un point de vue militaire, et si les autres souverains ne vous apprecie pas, ils en profiteront sûrment car leur lacheté et une de leur caracteristiques, mieux vos être unie pour une même cause plutot d'etre tous les uns sur les autres !

Olanir reflechie, son souverain avait sûrment des moyens, pour avoir une tennue aussi riche (même si elle etait sale), et se faissait suivre par des gardes du corps.

Olanir sourrit a la premiere phrase de Evans, annonçant qu'il le tuerai s'il le trhissait, Olanir eut un tres large sourrire en se tournant vers son superieur plongeant sa main dans la poche.

- Il faudrait d'abord me tuer, pour que je trahisse votre cause, qui est la même que la raison de notre rencontre, vous trahir serait ma propre trahison, et je ne surporterai pas !

Olanir regarda Evans sortir de sa poche un parchemin, celui-ci le lui tendit. Olanir hesita et le prit pres a le decacher pour le lire, mais Evans lui annonça que personne ne devait le lire, sous peinne de mort, et que Olanir serait le protecteur du message.

- Je le protegerai comme ma vie, et vous savez que j'y tiens a la vie, mourrir a mon âge serait honteux, et même dans la mort, la honte est presente, je ne puis le permettre !

Olanir s'arreta net, quand il vit Evans lever le bras, il vennait seulement se rendre compte de la presence d'un camp, alors que Olanir sentait depuis quelques kilometres, l'odeur d'un feu de camps, et entendait des bruits trahissant une forte activité au camp.

*Comment ca ne tuer personne sans raison, si il y en a un qui se presente a moi en tant que royaliste, le fait qu'il est choisie son camp, presente pour moi une bonne raison de le tuer ?!*

Evans envoya deux eclaireur avant de regarder d'un oeil surpris les armes en bois de Olanir, il lui demanda comment avoir réussie a faire de tel armes.

- Et bien, c'est l'arc de mon père, sinon, le reste c'est fait avec un bois robuste que j'ai retiré d'un arbre mourrant a cause d'une plante qui.... bref, c'est du bois de chêne !

Olanir regarda d'un air peu ragoutant, en voyant la dague de fer, il la pris, la froideur de la dague, le poids, et le tranchant changeant beaucoup comparré a son bois chaud de sa lance. Apres tout il avait tuer plus d'une cinquantaine de personnes avec ses armes. Mais Olanir ne voulant refuser un present de Evans accepta en un hochement de la tête qui designeait un merci.

Olanir la placa dans sa ceinture, il ne s'en servirait pas, a moins dêtre incapable de sedefendre sans ses armes, mais se battre sans la puissance du bois, l'inquitait.

Evans regarda au loin dans le ciel, des oiseux, il baissa la tête dans une intense reflection puis Olanir entenids, un "Si, c'est possible". Evans leva le bras, tous les cavaliers se lançant a sa suite en direction du camp.

Olanir se demanda ce que voulait dire Evans, mais celui semblait fermé, Olanir le suivit au galop, son cerf frappant le sol dans un rythme plus rapide que les cheveux des sorciers.

- Que se passe-t-il, qu'y a t-il dans ce camp ? Ces oiseux vous inquietes ?

Evans ne prit même pas la peine de regarder son interlocuteur.

- Ce ne sont pas des oiseaux Olanir, ce sont des elfes, des elfes de la nuit. Ils ont le pouvoir de voler et je mettrai ma main au feu (Non, ce n'est pas un pléonasme^^ ) qu'ils transportent d'autres soldats. Là-bas, au loin, derrière la brume, il y a l'île d'Asha. Ils y vont forcément.
On ne s'arrêtera au camp que dix minutes, le temps de tout brûler, en espérant les arrêter...

[Je continuerai tout à l'heure dans le sujet "Guerre" ]

[Ok, je te suit !]