Un voyage mouvementé

[13 novembre, 10h30]

Après avoir fuit Thorerd, ils partirent, sans demander leur reste en direction de Aldae. Il leur faudrait environ 3 jours pour parvenir jusqu'aux village des elfes sylvains, la route serait longue et plutôt éprouvante. Même lorsque Thorerd fut hors de vue, ils ne ralentir pas la cadence pour autant. Visiblement Evans semblait arriver au plus vite jusqu'à la cité. Les seules pauses qu'ils s'accordèrent furent, celles pour changer leurs montures -qui avaient quelques difficultés à tenir l'allure- et pour se nourrir.
Au bout d'une journée et demie de route, ils parvinrent enfin jusqu'à la forêt. Eileen apprécia déjà un peu plus cette environnement. L'air y était bien moins lourd que dans les contrées des sorciers. Au bout de deux jours ils ralentir quelque peu l'allure. Malgré les arrêts que le groupe faisait pour se reposer, la fatigue commençait à se faire sentir. Tant et si bien, que lorsque le village fut en vu, au troisième jour, c'est avec soulagement que tous le prirent. Eileen se senti soulagée, elle n'en pouvait plus d'être à cheval, et commençait à avoir mal partout. Non qu'elle n'était pas bonne cavalière, elle n'était certes pas excellente, mais se débrouillait tout de même. La route fut plus praticable, aux abords de la ville, et les signes de vie plus nombreux. Les membres du groupe poussèrent leurs montures une dernière fois, mais furent contraint de ralentir.
Une charrette, avançant à une vitesse exagérément lente, bloquait le passage. Au bout de deux minutes, la jeune elfe n'en put plus, elle talonna son cheval pour arriver jusqu'à la hauteur du conducteur. C'était un vieille homme au regard vif et au visage souriant et le canasson qui tirait la charrette semblait aussi âgé que le conducteur. Il portait une grande barbe blanche, une robe mauve, un chapeau pointu et sur le dos, un sac. Le vieillard ne semblait pas pressé et chantonnait. Le sourire qu'il affichait avait quelque chose d'étrange et d'inquiétant, une certaine folie. La jeune femme ne put d'ailleurs s'empêcher de penser que le vieille homme ne devait pas avoir toute sa tête. La brunette adressa un sourire radieux et prit la parole.

-Excusez moi monsieur, mais mes amis et moi avons fait un long voyage et sommes exténuer, nous souhaiterions pouvoir entrer dans la cité au plus vite. Pourriez vous poussez votre charrette sur le côté pour que nous puissions passer.

Le vieillard émis un petit rire et releva la tête vers elle. La regard de cette homme surprit Eileen. Alors que l'homme semblait sans âge, ses yeux avait quelque chose de malicieux et une ce regard semblait tellement jeune.

[bon voilà. Désolée de ce court RP mais mon imagination m'a lâchement abandonné Ralala...

]

[13 Novembre, 10h32]

Nakor était tranquillement sur sa charrette poussé par son vieil animal, Ventru, qui n'en faisait bien souvent qu'à sa tête et le mener là ou bon semblait à l'animal de se rendre.
Soudain Nakor entendit au loin des bruit de cavaliers qui semblaient relativement pressé de passer leurs chemin, et le vieux sorcier savait bien qu'il gênait la route. Mais après tout peut être qu'une rencontre et un peu de compagnie ne ferait pas de mal au vieil homme, il décida donc de ne pas presser le pas et de voir comment réagirais les gens qui étaient sur le point de le rattraper.
Les cavaliers étaient des elfes, et des cavalières pour certaines qui plus est! La jeune elfe interpella le vieil homme, ce qui l'amusa car les jeunes étaient tellement pressés parfois. Jetant un bref coup d'œil à l'elfe, Nakor remarqua une fatigue notable et un réel empressement, monté sur des chevaux qui n'en pouvaient plus. La voix chevrotante du sorcier se fit entendre

"Vous savez ma chère, si vous continuez comme ça vous allez tuer vos montures, vous devriez plutôt rester prés de moi et à mon rythme, de sortes que vos chevaux ne soient pas en danger! Et puis quelle que soit la chose que vous fuyez, vous êtes assez proche de la ville pour ne plus vous en soucier non? Alors je pense que vous pouvez commencer à vous reposer dés maintenant mes enfants!"

Puis Nakor se mit à rire grandement car il sentait bien qu'il avait mis le doigt sur quelque chose d'intéressant et que la jeune elfe serait peut être étonné de voir un vieillard qui avait encore un peu d'esprit. Nakor se leva très brusquement de sa charrue, se mit debout, comme si l'âge n'avait pas encore eu d'effet sur ses articulations, et entortilla sa barbe autour de son bâton, puis tout en s'inclinant, il releva la main pour que sa barbe n'aille pas trainer par terre et s'exclama

"Nakor, pour vous servir!"

Puis il démêla sa barbe d'un tour de bras, se rassit et sortit des oranges de son sac en les proposant aux cavaliers, sans leur dire mais en tendant la main vers eux. Le vieux sorcier attendait avec impatience de voir si le destin avait mis sur son chemin des êtres intéressants ou non.

[Un rp....EN-FIN!! Lool

]

[13 novembre]

Enfin! Ses chères forêts apparaissaient à nouveau aux yeux de la souveraine des elfes sylvains auxquelles elles avaient tellement manqué. Certes, les chevaux étaient épuisés, l'un ayant même succombé, les naseaux excrétant du sang à profusion, mais l'elfe tâcha de l'oublier; d'ailleurs, elle n'avait plus vraiment de coeur pour quiconque à cet instant. Ses ongles recommençaient enfin à repousser...
Leur caravane déchaînée ralenti le train lorsqu'ils se retrouvèrent coincés, sur un petit sentier, derrière une charrette, conduit par une personne dont seul le bout de son chapeau pointu dépassait de la cariole. Eileen prit les devants afin de déboucher le passage, pensa Zelda.

-Excusez moi monsieur, mais mes amis et moi avons fait un long voyage et sommes exténuer, nous souhaiterions pouvoir entrer dans la cité au plus vite. Pourriez vous poussez votre charrette sur le côté pour que nous puissions passer.

"Vous savez ma chère, si vous continuez comme ça vous allez tuer vos montures, vous devriez plutôt rester prés de moi et à mon rythme, de sortes que vos chevaux ne soient pas en danger! Et puis quelle que soit la chose que vous fuyez, vous êtes assez proche de la ville pour ne plus vous en soucier non? Alors je pense que vous pouvez commencer à vous reposer dés maintenant mes enfants!"

Le vieil homme, vieux car on l'entendait à sa voix, se leva.
"Nakor, pour vous servir!"

Nakor ne semblait pas vouloir avancer plus rapidement d'après son sourire rayonnant. En effet, il avait même arrêté la marche pataude de son animal.
Tant de choses les attendaient à Mithgalad! L'elfe aurait souhaité qu'ils y soient déjà ou, mieux, que tous les évènements à venir soient terminé. Mais pour cela, il fallait que ce vieux sorcier avance et cesse de contempler Eileen.
Zelda talonna sa monture mais fut vite rappelée à l'ordre par Evans.
"Je vous rappelle tout de même qu'ici, nous sommes sur mon territoire. Vous souhaitez avancer, ou non?", murmura-t-elle.
Arrivée à la hauteur d'Eileen et du vieux sorcier, l'elfe l'interpella en le priant de bien lui dire ce qui l'amenait sur les territoires de la contrée de Mithgalad.

Nakor fut impressionné de voir que finalement il y avait du beau monde dans le coin et se fit un plaisir de le signaler avant de répondre aux questions des rois et reines de ce monde

"Par tout les dieux de notre monde je n'aurais jamais cru possible de rencontrer ici même sur cette petite route ... la reine Gil-Galen et le roi Evans ... je suis ... intéressé!"

Puis Nakor ria amplement à la face de ses interlocuteurs, qui ne devait pas être très habitué au manquement d'obéissance des êtres à qui ils faisaient face. Au contraire, ces personnes devaient être habitué à se voir servit dans les secondes qui se déroulait après l'énoncé de leurs demandes! mais à son âge Nakor ne considéré plus vraiment qu'obéir aveuglement au doigt et à l'œil était vital, bien au contraire ses quatre vingt deux ans de vie lui donnait finalement droit à un peu de respect, même de la part des grand de ce monde

"Je voyage simplement parce que les contrées magiques m'ont un peu agacé ces temps ci ... j'avais envie de changer d'air ... mais peut être que le destin m'a amené ici pour que je rencontre des gens ... intéressant oui!"

Les derniers mots furent prononcé comme si le vieux sorcier réfléchissait tout haut

"Et vous qu'est ce qui vous fait me demander de me pressé ... à mon âge?"

Nakor n'avait rien de présomptueux dans la voix, mais au contraire, il posait vraiment la question à ses interlocuteur, de plus en plus nombreux.

[Evite les RP centrés Nakor, ça me perturbe ! xD

Et puis depuis quand je suis un elfe moi ? ;interloque

Eileen = elfe de la nuit
Zelda = elfe sylvain
Moi, Diboan, et les vingt autres hommes = sorciers
Capiche ? Lool

Et puis il est normalement impossible que tu me connaisses de vue.

]

[13 Novembre, 10h35]

Au lieu des cinq jours de prévus, ils n'avaient mis que trois jours, ce qui mettait de bonne humeur le Souverain. Ils mangeaient rapidement, parfois sur leur monture respective, et ne dormaient pas beaucoup, car Evans avait des projets qui ne pouvaient pas attendre la nouvelle année. Ils avaient changé de chevaux à deux reprises, et un des animaux était mort juste à leur arrivée dans le hameau où ils s'étaient procuré les destriers. Heureusement, ils avaient toujours de l'argent sur eux... Et puis sinon, il restait la bonne vieille méthode : le meurtre. Cependant, Evans avait réussi à se montrer assez persuasif pour ne pas avoir à recourir à cette solution, qui pouvait se montrer plus ou moins sanglante. De plus, il ne voulait pas tâché sa tenue, car il devait la garder pendant encore une dizaine de jours. Et puis ces vêtements sombres étaient plus discrets que les ornements de Souverain. Les vingt hommes qui les accompagnaient avaient reçu l'ordre de faire de même, pour éviter que l'escorte soit trop voyante.
Diboan était resté très silencieux pendant le voyage. Il se contentait d'acquiescer à ce que lui disait Evans. Ils avaient voyagé côte à côte, car le chef du groupe préférait que ça soit Eileen qui surveille Zelda. Etant elfes toutes les deux, elles auraient plus de sujets de conversation en commun. Néanmoins, l'elfe de la nuit se trouvait à l'avant de la petite troupe lorsque, approchant de Aldae, ils durent ralentir à cause d'une charrette. La bonne humeur d'Evans se dissipa bien vite, et il décida de rester en retrait pour éviter de s'emporter. Le vieux sorcier leur rit au nez et fit preuve d'une impolitesse irritante, ou plutôt de l'insolence, car il les avait reconnus et avait appelé Evans par son prénom. Il n'avait même pas pris la peine de se prosterner ou de s'incliner brièvement. Perdant patience, Evans descendit de cheval, tendit les rênes à Diboan, et sortit son épée d'un geste brusque pendant qu'il marchait à grands pas vers le vieillard.
- Etant donné que vous avez l'air de me connaître, je suppose que vous connaissez ma réputation, lança-t-il en direction du barbu. Je n'ai pas pour habitude me laisser marcher sur les pieds, surtout par un fossile qui ferait mieux de rester chez lui et de surveiller ses arrière-petits-enfants. Je n'ai pas de conseil à recevoir de vous, et le fait que nous soyons ici ne vous regarde absolument pas. Ecartez-vous de mon chemin, ou je vous ferai subir le châtiment habituel réservé à ceux qui s'occupent de ce qui ne les regarde pas.

[moi qui avait écrit un long et beau rp, tu m'as devancée, Evans... angry

A toi Nakor, comme il te parle! ^^

P.S.: ah! Au fait...tu n'es pas le plus âgé ici. X) ]

[Nakor m'a aussi devancé tout à l'heure, et j'ai dû modifié^^ xD

P.S. pour Zelda : espèce de cadavre ambulant ! xD]

[Hey!! Je vais en parler à la SPPESB...XD]

[... c'est-à-dire ?^^]

[Nous sommes bien parti de THorerd, Non ??? Je me suis donc bassée sur tes info mon, cher Evans. Hors tu dis bien que "Aldae -> Thorerd = 3 jours et demi
". Et non 5 jours... xD]

[Société Protectrice des Pauvres Elfes Sylvains Bafoués... Lool

]

[Oui Zelda, on sait, t'es martyrisée^^

Merde, j'ai regardé pour Calfalas. xD
Ben alors pourquoi un cheval est mort, hein ? Je comprendrais si on était arrivé plus tôt, mais puisqu'on a voyagé à une vitesse normale, on n'aurait même pas dû changer de monture^^]

[13 novembre, 10h38]

Nakor retenue du mieux qu'il put une énorme envie de rire, car c'était l'effet que créait en lui toutes les personnes qui s'énervait pour si peu de chose. Il avait en effet entendu parler du nouveau roi des sorciers et il ne semblait pas aller contre sa réputation qui était finalement fondé. Mais qu'à cela ne tienne si le roi montait sur ses grands chevaux

"Monseigneur Dablord, en effet je ne vous connais que de réputation et je vous avouerais que je déteste les rumeurs, j'y préfère les choses vraies! Bien que parfois celle ci s'avèrent être exactes! Mais il est bien inutile que vous et votre armée vous déchainiez contre moi, j'allais vous laisser passer mais si vous le prenez comme ça!"

Nakor concentra rapidement sa force magique et tapa son bâton contre le sol, une grande et éblouissante lumière blanche apparue autour du magicien et de sa chariote, une lumière si vive que tous durent fermer les yeux pour ne pas devenir aveugle, puis la lumière cessa et il ne restait plus sur la route que le vieux magicien, son bâton à la main et un tour de passe passe joliment accomplie, Nakor étant un spécialiste de la magie de la lumière et du feu

"Voila, je vous laisse donc passer mais je réclame quelque chose en échange, je suis trop fatigué au vue du sortilège que j'ai du lancer sur mon appareillage, alors emmenez moi avec vous jusqu'à la ville ... vous n'allez pas laisser un homme de votre propre peuple monseigneur, là comme ça au banc de l'humanité non?"

Nakor masqua la malice qui débordait presque de ses yeux, en effet le vieil homme aurait put courir jusqu'à la ville sans être fatigué uns seule seconde mais il voulait apprendre aux grands du monde, que s'ils ont leurs places si haut, c'est aussi parce qu'ils ont un peuple qui leurs obéit.
Nakor esperait que les elfes calmeraient les ardeurs du roi des sorciers, quoi que cela ne l'impressionnait pas outre mesure.

[13 novembre, 10h39]

Evans eut soudain une idée. Il avait perdu sa bonne humeur, alors il allait falloir qu'il la retrouve, d'une manière ou d'une autre. Rangeant son épée, il fit signe à Diboan et à trois autres hommes se s'approcher.
- Ma réputation ne vous a pas appris qu'il est idiot de vouloir obtenir quelque chose de moi ? demanda-t-il en souriant. A vrai dire, j'essaie maintenant d'être honnête avec moi-même, et pour l'être totalement, il m'est impossible de vous autoriser à nous suivre.
Il tourna la tête en quête du lieu propice, tout en jetant un rapide coup d'oeil sur Eileen.
- Vous voyez cet arbre ? lança-t-il en désignant un grand chêne un peu plus loin dans la forêt. Eh bien j'espère que vous l'aimez, parce que vous allez devoir lui tenir compagnie un moment.
Les quatre autres sorciers le prirent alors par le bras, le soulevèrent, et l'emmenèrent près de l'arbre en question. Ils l'attachèrent avec une solide corde blanche, puis Evans s'approcha de lui et prit le grand bâton.
- Il me semble qu'à présent, il ne vous sera d'aucune utilité. Disons que c'est un cadeau censé vous pardonner de l'offense que vous nous avez faite. Tiens, Diboan !
Il lança le vulgaire bout de bois au guerrier, qui le prit, amusé, et l'accrocha à l'arrière d'un des chevaux.
- Peut-être les oiseaux auront-ils pitié de vous et mettront-ils un terme à votre supplice.

[N'oublie pas de modifier ta feuille de caractéristiques

]

[13 novembre, 11h00]

Nakor se laissa faire, sans chercher les histoires. Après tout il serait plus intéressant de réapparaitre à la barbe de cet idiot et arrogant de roi un autre jour et de ne faire comme si de rien était. Il laissa donc les chiens sorciers du roi comme il aimait les nommer. Les hommes lui volèrent son bâton ce qui le fit fortement rire, mais qui fut mis sur le dos de la folie du vieil homme. Ils l'attachèrent sur un arbre, que Nakor trouvait fort jolie et appréciable de par sa grandeur et sa beauté. Il se laissa ficelé et lorsque les cavaliers s'éloignèrent pour enfin pouvoir se rendre à la fameuse ville de tout leurs désirs Nakor s'exprima juste assez fort pour que le derniers des cavaliers, le fameux Diboan, puisse l'entendre

"Au revoir, mon cher Diboan, et prenez garde à votre monture, elle me semble prête à cabrer pour un rien à tout moment."

Puis Nakor ria, en voyant le sorcier rire de la folie du vieil homme et du ridicule de la position puis le vieux sorcier se concentra en disant tout bas

"Ho fait mon cher Diboan, je ne crois pas vous avoir parlé de ma deuxième et seule autre spécialité non? Ha non j'ai oublié de vous dire que c'était le feu!"

Nakor entra dans une transe puissante pour que sa magie ne soit concentrée qu'autour de lui et que personne d'autre et surtout pas le roi et ses chiens puissent le sentir, pour cela il devait faire un effort de resserrement desa magie. Une fois l'état de concentration requis atteint, Nakor jeta un sort de Brule-Main qui lui permettait en plus de ne mettre le feu qu'à ce qu'il voulait vraiment bruler. La corde prit donc feu et le feu se rependit autour du magicien, mais justement son contrôle parfait du feu, faisait qu'il aurait très bien put se jeter dans les flammes et en ressortir sans même avoir ressentit la chaleur. La corde se consuma rapidement et Nakor se massa doucement les poignées tout en éteignant les flammes qu'il avait allumé sur ses vieilles mains.

"Halala, ces rois, ils se croient véritablement au dessus de tout, rien ne change jamais dans ce monde triste et sans grande joie! Nous nous reverrons bien un jours mon cher Evans, et ce jours là votre expression de surprise me fera hurler de rire!"

Nakor brisa une bonne branche sur l'arbre auquel il fut attachait, le remercia puis se tourna vers le nuage de poussière que toute la cavalerie venait de soulever. Ils avaient enfin atteint la ville et les poussières retombant, Nakor était sur qu'ils étaient donc enfin entré dans la ville Nakor décida donc de lancer son petit sortilège!

"Voyons voir si vous maitrisez bien votre monture mon cher Diboan!"

Puis Nakor lança sa magie vers la ville et retrouva son bâton, celui avec qui il était très proche pour l'avoir gardé plus de douze ans à ses cotés et de l'avoir imprégné de sa magie. Il y mit le feu littéralement ce qui eu pour conséquence de faire cabrer le cheval, lui bruler la croupe et de le rendre impossible à maitriser pour son cavalier! Nakor ria fortement et décida de faire réapparaitre sa charrette, remonter dessus et continuer son chemin, en hâtant son cheval cette fois ci, car il commencer à s'intéresser à ce qui pressait tout ces sorciers et ces elfes réunis.

[Et pourquoi Diboan voyagerait-il à l'arrière du groupe alors qu'avant il voyageait à l'avant, à côté de moi ?^^]

[13 novembre, 11h05]

Alors qu'ils étaient enfin arrivés à Aldae, un indicent imprévu les arrêta. Diboan était tombé de son destrier, qui était devenu impossible à maîtriser. Evans fit signe aux autres hommes de l'aider à se relever, irrité qu'un stupide cheval les ralentisse. Ne voulant pas plus être retardés, il lança une boule de feu vers l'animal, qui se consuma en quelques secondes. Alors que le sorcier à qui la monture appartenait regardait les cendres de celle-ci, le Souverain scruta l'horizon, à la recherche du vieillard. Il ne vit rien, ce qui était normal puisque le grand chêne était plus loin sur le sentier, mais pourtant Evans se douta du responsable de leur halte improvisée.
- La prochaine fois que l'ancêtre se met sur notre route, dit-il à Diboan, qui était monté derrière Evans, tuez-le... Avant qu'il utilise son vulgaire bout de bois, évidemment !
Sans attendre de réponse, il tapa sur le flanc du cheval pour le mettre au trot. Il se rapprocha en avançant d'Eileen et de Zelda pour leur parler.
- On va bientôt arriver. L'arbre creux dont parlaient les ouvrages de Tàri est de l'autre côté de la ville. De toute façon, je suppose que vous connaissez le chemin Zelda ?
Il jeta un petit coup d'œil derrière lui et, la route principale traversant la cité étant parfaitement droite, il aperçut la charrette du gêneur.
- Notre fossile est derrière-nous, continua-t-il à l'adresse de Diboan. Quand on sera dans la ville, fais en sorte qu'il retrouve la terre qu'il aurait dû côtoyer depuis longtemps. Et sois prudent, je veux te retrouver en vie à notre retour.
Le voyage de Thorerd à Aldae avait rapproché les deux hommes, qui commençaient à présent à bien se connaître. Comme d'habitude, Diboan répondit laconiquement :
- Ne t'inquiète pas, on fera en sorte qu'il marche sur sa barbe.
Ils arrivèrent finalement à la sortie de la ville. D'après ce qu'il savait de Akemen, ils devaient mettre encore une dizaine de minutes avant d'arriver à l'arbre creux. Effectivement, ils ne tardèrent pas à atteindre leur objectif. Evans, Eileen et Zelda descendirent de cheval, en confiant les rênes aux hommes présents.
- Ne le laisse pas te berner. Il est peut-être vieux, mais sûrement plus rusé qu'on ne le croit.
Diboan se contenta de sourire, puis les vingt-et-un soldats s'en allèrent au galop vers l'ouest de la ville. N'oubliant pas son but, Evans sortit sa dague et refit l'opération qu'il avait faite au volcan des Brumes pour mélanger les sangs.
- Bon, à présent, et puisque vous avez déclaré avant notre départ du volcan que vous étiez déjà venue ici, je vous laisse faire Zelda.

[Une journée de congé...je vais en profiter.

]

- Bon, à présent, et puisque vous avez déclaré avant notre départ du volcan que vous étiez déjà venue ici, je vous laisse faire Zelda.

L'elfe regretta quelque peu sur l'instant d'avoir accepté ce marché. Mais avait-elle eu vraiment le choix? Et puis, sa curiosité l'avait titillé aussi. Elle leur dit donc de se tenir près d'elle et tendit la main devant elle, se concentrant sur l'arbre. Il avait l'air très vieux, et semblait sur le point de s'écrouler; aucune feuille verte n'ornait plus ses branches, c'était l'automne perpétuel. Soudain, une branche à l'aspect plus jeune commença à croître sur le pied du végétal.
Ils sentirent leurs pieds se dérober sous eux et tout devint noir.
Lorsque, enfin, la lumière réapparu dans un bruit de cloche, ils se trouvaient...sous terre. D'immenses racines ornaient les murs et, tout en haut, une voûte immense dégageait une lumière verdâtre. Ils étaient sur une place d'un village souterrain.

[mais pourquoi j'ai pas le droit de voir ce qui se déroule à Akemen... :snif:

]

[Mais...tu es aussi avec nous!? Il me semble que, lorsque Evans a mélangé les sangs, le tien était compris.

MON DIEU!! J'ai du sang de sorcier....O_O
*réalise qu'elle est désormais maudite*]

[ben oui je sais mais lorsque je clique sur Akement, ça me met "Désolé, mais seuls les utilisateurs avec un accès spécial peuvent lire des sujets dans ce forum."...]

[Oups...va de ce pas changer ceci... :confus:

]

[Désolé Eileen, j'ai oublié d'ajouter tout le monde dans le groupe.

NB pour les Souverains : si vous voulez pénétrer dans une des villes, merci aussi de vous ajouter dans le groupe associé pour que l'on sache quel personnage peut s'y rendre sans aide à l'avenir (le seul problème est Zelda, puisqu'elle est modératrice par défaut^^).]

[Le problème te remercie...(la prochaine fois, il usera de sa supériorité pour te le rappeler. Niark. Sourire

]

[Merci Zelda ^^]

[De rien!

]

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