Préparatif de guerre

Nath était arrivé aussi vite qu'il aurait pu depuis la Taverne. Les Pirates allaient les attaquer en masse et il fallait rassembler l'armée et consolider les défenses de la ville. Arriver à Calfalas malgré la nuit, il ordonna qu'on allume les feux d'alarme dans toute la Contrée et de réveiller les habitants de toute la capitale. Il devait leur faire part de la nouvelle. Une heure plus tard, les villageois étaient rassemblés sur la place de l'Hotel de Ville.
Veuillez m'excuser de vous réveiller mais j'ai une nouvelle des plus importante à vous faire part. On vient de m'informer que les Pirates rassemblaient leur armée pour envahir les Terres Oubliées. Je vai rassembler l'armée et j'aurai besoin de travailleurs pour consolider nos défenses. Une fois que l'armée sera mobilisé, on fera route vers Gilond. C'est là que se déroulera la guerre. Sinon veuillez prendre les mesures nécessaires. Peuple de Calfalas, je vous jure que nous sortirons vainqueurs de cette guerre et on repoussera les Pirates à la mer!
Il laissa les Sorciers retourner chez eux. Tandis que le Souverain se rendit au Palais pour donner les ordres adéquats.

Nath rentra dans le palais en faisant claquer toutes les portes et rentra dans la salle du conseil. Il ordonna qu'on aille quérir ses capitaines et autant de messagers qu'il y avait de villages dans la contrée. Il n'eut pas à attendre longtemps car une demi-heure après tout ce petit monde était rassemblé.
Que les messagers aillent transmettre aux village de la contrée de Calfalas que nous sommes en guerre et qu'ils doivent prendre les mesures nécessaire.
Il attendit que les messagers quittent la salle avant de poursuivre avec ses capitaines.
Nous allons rassemblé l'armée selon mes ordres. Je veux pour partir vers Gilond 500 cavaliers armés de deux épées chacun, 1'500 archers munis en plus de leur arc et carquois d'un sabre chacun, 500 piquiers que vous munirez également en plus de leur lance d'une épée et pour finir je veux 2'000 soldats. Il y a des questions?
Personne ne bougea.
Je continue. Pour la défense de la capitale, on va constrouire un deuxième mur en bois en plus de celui de pierre qu'on a déjà. On le construira juste devant la muraille. Et encore devant celui-ci, je veux une tranchée de trois mètre de profondeurs tout autours de la ville avec des pieux sur les flancs du trou. Nous construirons de tours supplémentaire, on augmentera la garde et des chevalier parcouront la contrée sur la frontière pour nous annoncer si l'ennemi à pénétrer sur le territoire. Comme garnison j'exige 1'000 soldats et 500 archers. Qu'on rassemble toutes les personnes nécessaire pour les fortifications. Au boulot!!!
Sur ce le SOuverain se leva et sorti du palais.

Avant de sortir, il donna encore un ordre.
Que toutes les personnes de ce palais, nobles eou domestiques, viennent aider les travailleurs.
Le Souverain se dirigea à travers la Capitale en directiond es rempars. Quand il y arriva, des Sorciers étaient déjà à la tache.
Je suis satisfait de savoir que les informations se transmettent rapidement et ils m'obéissent.
Il s'empara d'une pelle et commenca à creuser pour pouvoir dreser le second mur et ensuite pour le fosser. Les travailleurs semblaient surpris de le voir à l'oeuvre.
C'est pas parcque je suis Souverain que je ne vai pas me salir les mains pour protéger la Contrée de Calfalas!
Ils semblaient satisfaits et se remirent au travail avec plus de vigueur.

Les fortifications avancaient plus vite qu'il ne l'espérait. Les Pirates auraient du mal à prendre Calfalas. Maintenant il était temps de partir avec son armée sur Gilond. Il donna l'ordre de rassembler la colonne. Trois heures passèrent avant qu'elle soit prète.
Soldat, nous marchons sur Gilond pour repousser les Pirates! On a besoin de nous et on le fera avec honneur!
Leur destin était cellé. Nombreux seront ceux qui ne reveront plus le jour.

(Attention j'arrive, enfin je m'incruste dans ton monologue en tout cas ! )

Irildë qui c'était engagée s'avança vers le souverain et elle lui dit :
*On part déjà ? On peut pas rester encore un moment ici je suis fatiguée, moi ! *
Elle aurait préférer éguiser encore un peu sa clef. Mais elle adorait surtout contester les ordres de son souverain. C'était son passe-temps favori. Sans doute préférait-elle faire la fête mais elle trouvait amusant l'expression que Nathanaël affichait lorsqu'elle le contredisait ou qu'elle l'ennuyait.

Aëlius arriva juste après elle, ses armes parfaitement aiguisées et un stock de flèches impressionnant dans le dos.
"On part quand ?" demanda-t-il d'un ton léger.
Il ne tint pas compte du regard noir que lui lançait Irildë et s'assis en attendant le départ.

Nathanaël vit Irildë s'approcher.
Le calme s'est fini!
Tu peux te reposer comme ca on aura plus de Pirates pour nous.
Par chance Aëlius arrivait juste après la Sorcière.
On part maintenant. Prenez un cheval et on partira.
Le Souverain avait fait préparé ses affaires et ils étaient dans son chariot.

Irildë était bien embêtée car elle n'avait pas de cheval. Lorsque l'officier les avaient distribuer il s'était foutu d'elle et lui avait dit que les femmes ne participaient pas aux guerres. Elle s'était retenue de le frapper à cause de grade. elle dit alors au souverain :
* Je fait comment ? J'ai pas de cheval ! *
Soudain elle aperçut les affaires de Nathanaël et lui dit :
* Tu part en vacances avec toutes ce bazar ? *

Nath interpella un maitre d'écurie et lui ordonna d'aller guérir un cheval pour la Sorcière.
Tout ce bazr comme tu dis, il y mes cartes, des livres de magies, mes pierres à aiguiser, mes armes et plein d'autres choses.
Il areta un cavalier pour lui transmettre un message à transmettre à Zelda.
Tu iras sur la place de l'Hotel de Ville et tu diras à Zelda que l'armée Sorcier se rend directement sur Gilond avec 4'000 hommes.
Le messager éperrona son cheval et s'éloigna.

Une personne se rapprocha du Souverain. Elle arrivait à la course. Nath reconnut la carrure d'un elf et ne sortit donc pas ses sabres. L'elf qui se présenta devant lui était son ami Fido. Il descendit de son cheval et le salua.
Mon ami, quel vent t'amène ici?
J'ai un message de la part de la Souveraine Zelda.
Il lui tendit la lettre cellée. Le Souverain la lut rapidement.
Bien, on est provisoirement 6'000. J'espère que Mia et Sonia en auront autant. Et il faudra ajouter encore quelques soldat spéciaux.
Veux-tu rester avec nous pour le reste du chemin?

Fido réfléchit un moment avant de répondre à Nath.
Ton offre est généreuse, mais mon devoir est auprès de ma Souveraine et des autres elfs sylvains en ces temps obscurs. J'espère que tu peux le comprendre.
Bien sur mon ami. Va! On se retrouvera sur les plages.
Il salua Nath et s'en alla commen il était venu au pas de course.

Durant cet échange, un palfrenier s'approcha d'Irildë, tenant deux chevaux par la bride.
Zut, il y en a un pour moi...

Aëlius attrapa la bride qu'on lui tendait d'une main sure, mais il aurait mille fois préféré rester à pied...
"Je déteste monter à cheval. Mais en même temps je n'ai pas vraiment le choix... Je calmerai mes nerfs sur le premier pirate que je verrai une fois arrivé je suppose."
Il fit un petit signe à l'elfe [lol, en fait je me souvient plus si je t'ai rencontré ou si tu m'as juste vu pendant le tournoit !] puis enfourcha sa monture qui ne semblait pas vraiment ravie non plus...

(Fido a juste fait un tour au tournoi quand tu combattais avec Mia. Je commence le poste à Gilond! )

Arriver a Gilond tu pourras le quitter. Tu feras parti des groupes d'éclaireurs. Je garde mes cavaliers pour nosu assurer que le chemin est sûr. J'ai pas envie que mon armée tombe dans une embuscade et qu'on perde déjà des soldats.
Il se tourna vers les soldats. Il lui semblait qu'il ne se pressait surtout pas.
Forcez le pas! Je veux qu'on arrive avant les Pirates sur les plage!

11 personnes arrivèrent à cheval. Il n'y avait apparemment pas l'ombre d'une armée. Ils avancèrent doucement et, quand ils virent un villageois, un homme l'interpella.
- Hep ! Sais-tu où sont le Souverain de ces terres et ses hommes ?
- Ils sont partis il y a deux jours. Mais qui êtes-vous ? Et vous ne devriez pas être déjà avec lui ? Quand il l'apprendra, il...
Le villageois ne cessant de leur faire la morale, le chef du petit groupe chuchota au guerrier qui avait interpellé l'homme.
- Il commence à me taper sur les nerfs... Tuez-le.
Le guerrier descendit de son cheval et marcha lentement autour de l'homme. Celui-ci commença à se demander ce qu'il lui voulait. Soudain, le sorcier sortit un poignard. Le villageois fut terrorisé et en moins de temps qu'il en faut pour le dire, il était mort, poignardé. L'assassin remonta sur son cheval et, suivant les ordres de l'homme qui avait ordonné le meurtre, il s'éloigna avec les dix autres, au galop.

Plus tard, le sorcier qui commandait le petit groupe lui parla.
- Artnëos, pendant la bataille, surveillez sire Gil-Nalìn. Faites en sorte qu'il reste en vie. Sa mort détruirait tous nos projets...
Petit à petit, ils se rapprochèrent finalement de Gilond...