Guerre

- Mais qui vous dit que je veux conquérir les Terres Oubliées ? Qui vous dit que je ne veux pas explorer et conquérir le monde ?
Les bibliothèques existent Zelda, et je suis allé faire un tour à celle de Tàri. Les archives démontrent que nous vivions avec les humains, ces gens sans pouvoirs. Une longue partie a disparu, celle du début. A vrai dire, je recherche une légende. Vous connaissez certainement Háwyn, le dieu du feu ? Eh bien, croyez-moi ou non, mais une légende raconte que lui et vos dieux, Thiedan, Rindra et Edaerin, ont créé des amulettes. Je les veux... Toutes.
Vous vous souvenez du jour où j'ai dit que je voulais simplement Calfalas ? C'est le jour où vous avez eu cette bosse...

Il désigna du doigt la tête de Zelda avant de reprendre.

- Eh bien figurez-vous que je vous ai menti. La contrée de Calfalas est très belle, certes, mais je veux plus. Beaucoup plus. Lorsque j'aurai ces amulettes, je prendrai le contrôle des Terres Oubliées, et je partirai ensuite à la conquête du territoire humain, s'il existe vraiment. C'est un travail qui prendra beaucoup de temps, car je ne sais absolument pas où sont les archives qui ont disparu.
Pourquoi je vous dis ça ? Qui voudra vous croire si vous le répétez alors que vous n'avez pas de preuve ?...

L'elfe revint sur la première phrase du sorcier, puis continua.

"On ne découvre pas le monde en écrasant tout le monde et en s'auto-proclamant souverain des sorciers à l'aide d'une simple feuille. Selon la loie de Calfalas, vous devez battre le souverain actuel et cela m'étonnerais que vous ayez réussi."

Elle marqua une petite pause, où elle pu observer avec délices un éclair de colère passer dans les yeux du sorcier. Elle lui sourit avant de reprendre son argumentation, car il s'agissait bien d'un débat.
"Si vous croyez tellement en ces dieux et les amulettes qu'ils auraient créées, pourquoi daignez-vous retenir les leçons de paix que cette religion dicte? Ainsi que l'honneur du combat que votre dieu respectait d'après la légende? C'était un grand guerrier sanguinaire et puissant, s'il a existé, et il était honnête. Vous feriez d'ailleurs bien d'en prendre de la graine.
Et puis, je vous rappelle que nos prédécesseurs, à nous les souverains, ont effacé notre territoire ainsi que notre existence des yeux des humains. Qu'est-ce qui vous dit qu'ils seraient capables de nous voir, à présent?"
Les deux elfes qui accompagnaient Evans étaient restés bien silencieux pendant tout ce temps. L'un deux commencerait-il à parler, enfin?

[Non, il s'est résigné à rester muet^^ XD]


Evans enchaîna aussitôt, un sourir au coin de la bouche.

- Mais les lois se font et se défont, Zelda, tout comme les sortilèges. Certaines personnes ne demandent qu'à être connues par leur magie. Je suis sûr que ces personnes sont dans les Terres Oubliées, et je les trouverai. Un nombre important de sorciers et d'elfes suffiraient sûrement à nous faire réapparaître aux yeux des humains. Il suffit juste de trouver l'endroit propice à ces changements...

Il s'arrêta quelques secondes, puis reprit.

- Vous êtes une elfe intelligente, Zelda. Vous pourriez avoir beaucoup plus de pouvoir si vous faisiez les bons choix. Signer le parchemin que je vous ai montré serait un début...

- Vous êtes une elfe intelligente, Zelda. Vous pourriez avoir beaucoup plus de pouvoir si vous faisiez les bons choix. Signer le parchemin que je vous ai montré serait un début...
-"Pourquoi est-ce que je le signerais? Je n'ai pas assisté à votre duel, je n'ai donc aucune raison de croire que vous avez eu ce rang en toute loyauté."
L'elfe voulu être claire.
"Vous savez, je n'ai rien de spécial contre vous, hormis une chose: vous m'avez assomée, ce qui n'était pas loyal. De plus, le seigneur Nathanaël et Sonia ont disparu, et je pense que vous êtes derrière tout cela. Je me fiche que vous trouviez ces amulettes, à une seule condition. Que vous laissiez les Terres comme elles ont toujours été, car c'est ce qu'il leur convient le mieux, ainsi qu'à leurs peuples."
Et les autres restaient muets comme des carpes...^^

- Je n'ai aucune idée de l'endroit où se trouve Sonia. Je sais juste ce que j'ai entendu au camp. Imaginez seulement que ce sont des humains qui l'ont enlevée...

Il se redressa en souriant.

- Vous n'avez aucune preuve de la légalité du Traité, c'est vrai, mais la signature de Nathanaël devrait suffire. Après tout, croyez-vous vraiment qu'il l'aurait signé sous la menace ?

"Parce que vous pensez que je vais croire ce que vous voulez que j'imagine? Les humains ne peuvent nous avoir trouvé, c'est impossible.
Quant aux menaces que vous auriez pu proférer à Nathanaël, je ne vous connais pas assez pour vous juger là-dessus."

[Je les laisse parler avant de répondre^^ XD]

[Evans, tu veut qu'on dise quoi, je veut en savoir plus sur votre histoire !!! Et Vandemar n'est pas encore de revenue, donc continuer votre dialogue, c'est interressant ^^]

[Vandemar n'est pas encore de revenu ?
C'est quoi cette phrase pourrie ?

Et que veux-tu savoir ? C'est mieux si vous ne connaissez rien de ce qu'il s'est passé, comme ça vous ferez jouer votre personnage comme si c'était vous... ]

[J'ai édité pour ne pas les obliger à répondre...^^
Mais ce serait bien si vous le faisiez aussi, rien que pour animer un peu. Et même si vous ne faites que des descriptions.
S'il-vous-plaît. ]

Olanir faissant face a Vandemar, le vit jetter des regards a chacun des interlocuteurs, comme s'il suivait une mouche qui volait au dessus de feu d'un point a un autre. Olanir avait du mal a suivre, il regarda l'elfe, elle ne semblait pas mennacante, mais impossait un certains respect, serait-ce par son staut de protectrice des bois, ou pour une raison caché ?

- Dites moi, Zelda, qui êtes vous exactement, vous êtes une ancienne aliiée de Evans, ou un de ses adversaires, que je puisse savoir au juste de quoi vous parlez ?!

Olanir regarda l'elfe qui daigna le regarder en face, ses yeux penetrant mettez mal à l'aise l'elfe, elle semblait si jolie a la fois, mais si redoutable !

Personne ne trouva ses remarques illarants et le sorcier rit tout seul.
Là, Evans commençait à révèler sa vraie nature.
"Evans, sorcier usurpateur....je trouve étonnant que vous usiez toujours de la trahison, du mensonge et de la moquerie pour dissimuler le fait que vous ne savez vous faire d'alliés par l'honneur et la preuve au combat.
C'est d'ailleurs pour cela que je ne vous accepte pas sur le trône de Calfalas. Il nous faut quelqu'un capable de garder le peuple sous la même bannière, tout en ne mentant pas.
Et puis, il nous faut quelqu'un qui n'essaie pas de manipuler les pensées de gens, comme vous venez de le faire à l'instant. Qu'est-ce qui vous fait dire qu'ils me haïssent? Je n'ai jamais été près de mon peuple, car ce n'est pas mon rôle d'être souveraine.
En attendant, je dois rester là et faire ce que je peux avec ce que j'ai, tout en restant dans les règles.
Mais vous, qu'essaierez-vous de faire?"

[Et je réponds quoi à ça ? "Et ta soeur ?" ? ]

[Tu sais pas si j'en ai une!!!
Non, laissons les autres parler....^^]

Olanir resta en plan apprennant que la Zelda, qui semblait si douce pouvait être la commandatrice de l'assassinnat de ses parents. Il resta figé, n'entendant plus ce que se dissait les deux ennemeis. Olanir saisit son arc rapidement fleche sur la corde, pointe droite sur la tete de Zelda qui leva un oeil pour voir l'embout de la fleche dirigé vers sa tempe, Olanir prêt a lacher la corde degageant le trait.

Aussitot, Evans l'en dissuada lui demandant de ne pas la tuer, mais il resta dans cette position, l'elfe vennait de voir la pointe de la fleche.

- Voyez, voyez Zelda, souverraine de la honte et de la lacheté, voyez sur votre tempe, l'arme qui tua les miens, les votres, les notres, voyez la pointe qui transperça les corps de mes defunt parent, voyez votre objectif accomplie dans la soumission par la terreur !

Olanir etait hors de lui, même son superieur Evans, ou son ami Vandemar, ne pouvait le disuader de tuer la responsable de la tuerie de sa famille, il pointait la fleche qui avait tué un de ses parents sur la personne qui semblait être a l'origine de ce massacre.

- Je n'ai nullement besoin de l'avis du sorcier Evans, assemblé les mots souverrain et elfe sylvain pour me faire paraitre ma cible, la cible de la haine enfouie en moi, vous êtes la souveraine des elfes sylvain, donc responsable de mon etat d'orphelin.
Vous dissiez que souverain n'etait pas de mentir ou manipuler ses citoyens, pourtant vous mentez aussi bien sur la politique que vous dirigeait aussi bien que vous manipulez les elfes sylvain qui reste en silence, vous êtes une manipulatrice et menteuse, et la preuve se trouve sur l'arc, la fleche témoin de la mort de mes parents.

Olanir fixa l'elfe, avec une lueur verte dans les yeux, signe de la force qu'il gardait encore en lui, il degageait une forte chaleur sûrment palpable par les sorciers, vennant de son mepris de l'elfe soumise au symbole de son impartennance.


[Héhéhé, amusez-vous bien !]

- Je n'ai nullement besoin de l'avis du sorcier Evans, assemblé les mots souverrain et elfe sylvain pour me faire paraitre ma cible, la cible de la haine enfouie en moi, vous êtes la souveraine des elfes sylvain, donc responsable de mon etat d'orphelin.
Vous dissiez que souverain n'etait pas de mentir ou manipuler ses citoyens, pourtant vous mentez aussi bien sur la politique que vous dirigeait aussi bien que vous manipulez les elfes sylvain qui reste en silence, vous êtes une manipulatrice et menteuse, et la preuve se trouve sur l'arc, la fleche témoin de la mort de mes parents.
La réponse était simple. L'elfe avait déjà été sur le point de se faire tuer, elle garda donc son calme.
"Et que voulez-vous que je réponde à ça puisque je n'ai jamais manié cette arme?"

[Alors ça, c'est envoyé ! XD

(Vas-y Olanir, bute-la tant que tu le peux^^ )]

Olanir remarqua la tête impassible de l'elfe, elle lui demandait qu'est-ce qui voulait. IL s'appretait a lui dire qu'il souhaitait sa mort, mais cela serait tellement lâche et bas, autant se battre en duel, mais Olanir prefera plutot satisfaire son maître.

- La seul chose que vous pourriez faire, serait d'accorder au souverain Evans les terres des sorciers et une partie des terres elfe sylvain, notamment cette forêt.

Olanir designa la foret non loin d'eux, qu'allait choisir l'elfe, mourrir pour son peuple, ou être aussi lâche que Olanir le penssait en accordant a Evans ces terres !

[C'est pas moi qui decidera de sa mort, mais elle, a toi de choisir Zelda !]

[Olanir, c'est plutôt à toi de faire gaffe... Zelda n'est pas une Elfe comme les autres, ça je peux te l'assurer ^^
et puis, si tu tues Zelda, le traiter ne veut plus rien dire...
ahhh... c'est mecs... agir avant de réfléchir...]

- La seul chose que vous pourriez faire, serait d'accorder au souverain Evans les terres des sorciers et une partie des terres elfe sylvain, notamment cette forêt.
L'elfe réfléchi profondément. Premièrement, son orgueil ne lui permetterait pas de céder des terres à un sorcier, qu'il s'appelle Evans ou non. De plus, elle ne voyait pas pourquoi elle devrait le faire.
Et puis, autre interrogation, pourquoi cet elfe sylvain combattait la cause d'un sorcier en demandant à sa souveraine de céder une partie de ses terres à un être qui ne lui ressemblait en rien?
-"Ce n'est pas la seule chose que je peux faire, vous savez? La vie est faite de choix..dont celui de cesser cette discussion. J'ai maintenant la conviction que ce sorcier et moi-même ne pourrons nous entendre tant qu'il n'aura pas changé de point de vu et réfléchir plus longement et profondément sur ce qu'il veut, ce qu'il est et ce qu'il doit être."
L'elfe se leva et prit la direction de l'endroit par où elle était venue, en marchant.

Olanir regarda avec stupefaction l'elfe faire fit de l'arme pointé sur elle, qui tourna le dos a Olanir, qui etait aussi un acte de défi selon les regles de la politesse.

Olanir decocha la fleche sous l'oreille de l'elfe, celle-ci fit volte face pendant que Olanir plaçait precaisionneusement une deuxieme fleches.

- Voyez Zelda, je tire toujours une fleche sous le lobe de ma cible, en general je la tue juste apres, mais etant donné votre statut de souveraine, je ne vous tirerez pas dans le dos.

Olanir regarda droit dans les yeux de la sylvaine le defiant du regard. Olanir avait abndé son arc prêt a laché la fleche, dans le bras de sa cible, si celle-ci le defiait a nouveau.

- Vous parliez de choix, en voila deux, laisser moi une raison de vous laissez vivre, ou mourrez d'un trait. Vous pourrez toujours me proposer des offres, je verrez quoi en faire !