Guerre

Ses parents ne le remarquant toujours pas, il se décida à aller voir le reste du village. Il marcha le long des maisons, mais personne nne s'était décidé à faire attention à lui. C'est alors qu'il vit une troupe de cavaliers arriver, les épées à la main. Les villageois, pris de peur, fuirent, mais les ennemis étant beaucoup plus rapides, ils étaient tués facilement. Evans ne courut pas. Bizarrement, il pensait que ça ne servait à rien. Il vit alors les cavaliers lancer des torches sur les maisons, laissant les enfants des parents déjà tués brûler vifs. A la fin de la boucherie, le chef des assaillants descendit de son cheval et regarda le massacre qu'ils avaient fait.

Sur le point de voir la tête du tueur, Evans se réveilla dans une infirmerie de campagne. Il n'entendait rien, pouvait à peine ouvrir les yeux, et les pouvait pas se redresser. Il vit des infirmières autour de lui. C'est alors qu'il s'entit sa cuisse gauche le brûler. Il ne pouvait rien faire, et son mal de crâne empirait. Il pouvait seulement voir le plafond et les infirmières. Petit à petit, il referma les yeux et revint dans le pays des rêves.

Il se retrouvait alors à nouveau dans son village natal, mais il n'y avait plus personne. Il le retrouvait simplement comme lorsqu'il l'avait découvert après une sortie, un an auparavant...

La magie des elfes sylvains, quoi que moins impressionnant que d'autres magies au niveau basique, pouvait prendre de grandes proportions à un plus haut niveau.
Mais, bien qu'ils soient tous unis, les elfes de la forêt ne pouvaient plus tenir. Déjà, dans leurs rangs, certains étaient tombés, inconscients.
Décidant qu'il fallait stopper l'offensive, Zelda ordonna à son peuple de prendre les armes et de se rendre sur le champ de bataille pour un combat direct: ils n'avaient plus de flèches, leur magie était à bout, ils ne leur restaient plus que cette possibilité.

Au bout de quelques heures, enfin, les armées pirates commencèrent à reculer. Peut-être quitteraient-ils enfin le rivage?

La magie des elfs sylvains semblaient efficaces. Avec mon armée je profitais de l'immobilité des pirates pour accélérer le mouvement de charge. On avait réussi à créer une jonction avec l'armée de Mia et on avancait de front. Les pirates semblaient reculer vers la plage mais ils semblaient désesper en même temps. Ils frappaient avec plus de force se sachant perdu et endurant de plus lourdes pertes dans nos rangs. Il me faudrait utiliser ma plus puissante magie pour cesser ce combat meurtrier au plus tôt. Je rassemblai mes quelques soldats de feu restant au nombre de quatre et j'en fis aparaitre six autres. Je me concentrais et je changeais la matière de mon corps. Maintenant c'était de la lave en fusion comme mes soldats de feu et je muttais avec eux. J'étais devenu une sorte de monstre de feu avec une épée à lame de feu de un mètre cinquante. Je n'avais qu'une volonté propre avancé et tuer un maximum de pirates qui se profilaient devant moi. Je restais dans cet état, je pense, un bonne minute avant de me retrouver de nouveau dans mon état normal vidé de toute mon énergie magique. Je dus prendre apui sur un de mes sabres pour garder l'équilibre. Je pris le temps de regarder devant moi et je remarquai les pirates apeurés reculé plus vite vers leur bateau et nos armées les poursuivre. Je tentai de me joindre aux troupes. Je fis un pas et me retrouvai allonger sur le sol. Cette transformation m'avait vidé en plus de mes capacités physique. Je me retréssai temps bien que mal sur mes jambes prenant apuis cette fois sur mes deux sabres.

Mia tua un pirate et vit les Elfes sylvains charger.
Pas si lâche que ça...
La souveraine vit les sorciers combattrent à côté d'elle. Enfin ils avaient réussi à se rejoindre...
notre stratégie n'était pas si mal que ça
Soudain, un éclat rouge vif éblouie les deux camps. Les Elfes furent reprirent plus rapidement la vue et Mia tourna la tête pour voir d'où venait cette lumière. Elle fut stupéfaite de voir un homme de lave avancer. Les pirates ouvrirent de grands yeux et prirent leurs jambes à leur cou fuyant vers leurs bateaux. Certains Elfes et sorciers firent de même mais dans l'autre sens... ils courraient vers le campement. Bien sûr la plupart des troupes courraient derrière les pirates. Et aussi soudainement qu'elle était apparue, la lumière disparue, laissant apparaître Nathanaël à la place de l'homme de lave.
Eh bien... il es drôlement efficace... je me demande ou il va chercher toute sa puissance...
Le souverain fit un pas et s'écroula. Mia courru vers lui, mais avant qu'elle n'arrive, il s'était déjà relevé. Il s'appuyait sur ses deux sabres et tentait tant bien que mal de rester debout. La souveraine arriva enfin près de lui.
"ça va? As-tu besoin d'aide? Très impressionnant ce que tu viens de faire..."
En même temps qu'elle parlait, elle tendit le bras pour lui fournir son soutien.

Ne sachant que faire, Evans s'asseya sur un tronc d'arbre et attendit. Le vent se mit alors à souffler, de plus en plus. Le sorcier se sentit de plus de plus transporté et il découvrit qu'il s'éloignait contre sa volonté. Il fut aspiré et se retrouva dans l'infirmerie de fortune du camp. Il ne savait absolument pas depuis combien de temps il était là. Il n'y avait plus personne. Il se leva, tant bien que mal, se rhabilla et avança vers la sortie en s'appuyant sur ce qu'il trouvait. Il n'y avait pas grand monde... En tout cas, l'armée était sûrement toujours au combat ! Il remonta l'allée et découvrit des guerriers courir ou vers le camp. Pourquoi ? Il ne le savait pas, mais il s'écarta pour les laisser passer, intrigué. Dans les guerriers qui courraient, il reconnut Artnëos, un des soldats qu'il avait amenés avec lui.
- Artnëos ? Que se passe-t-il ?
- Un... Un... Un homme de lave !
- Qui était-il ?
- Je ne sais pas, je suis parti avant qu'il ne nous tue !
Evans comprit alors que ça ne pouvait être qu'un sorcier, et apparemment puissant.
- Imbécile ! Ca devait être sire Gil-Nalìn !
- Voulez-vous que j'y retourne ?
- Non, restez ici, vous y serez plus utile. Retrouvez mon cheval.
Le sorcier sortit finalement du camp, même s'il était encore faible, vers le lieu des combats. Au lieu d'aller sur le champ de bataille, il se dirigea vers le haut de la colline d'où il était parti. Lorsqu'il fut arrivé, il regarda le reste de la bataille. Les pirates courraient vers leurs bateaux.
Nathanaël ne me pardonnera sûrement pas ce qu'il considèrera comme une erreur... Mais d'un autre côté, si je n'avais pas agit, les pirates les auraient sûrement encerclés...

Alors que ses confrères avait commencé le combat aux corps a corps , un homme couvert de feu apparut entre les dex armées .

"Ce dois ètre le souverain des sorcier ....quelle magie surprenante ..."

Les ennemis partirent effrayé et retournèrent vers leurs bateaux ...Un seul pirate était resté là , il ne bougeait pas et semblait fixé le souverain des sorcier qui venait de reprendre sa forme humaine , a bout de force .Mia était venu porter main forte a son ami .

"Que fait il cette homme? "

Le pirate se mit a chargé vers Mia , une forme d'aigle apparut dans son dos .

"Une magie? Un Pirate possédant de la magie? !"

Celui ci n'était plus qu'a douze pieds de mia et du souverain .Fye utilisa alors toute sa puissance et en une seconde , apparut devant ces personnes qu'il admirait tant .

_N'avance plus !

Fye tendis ses deux mains vers l'avant et un tourbillon de sable se forma .

"Il ne pourra pas résisté !"

Il avait tord de pensé de telles choses , car le tourbillon n'avait pas suffit , l'homme s'apprettait a planté son épée dans le ventre de Fye !

"Non..."

Alors que Mia attendait la réponse de son ami, une voix masculine s'éleva dans son dos.
"N'avance plus !"
Elle se retourna, veillant à ne pas gêner Nathanaël et vit Fye, ainsi qu'un aigle foncer droit sur eux. Un tourbillon de sable se leva.
Mais pourqu... un sorcier! Un rebelle! Ou un pirate magicien.
Cette pensée lui était apparue si soudainement qu'elle se demandait d'où elle venait.
Bon, c'est juste une intuition... c'est peut-être f...
Elle ne termina pas sa pensée car l'aigle avait traversé le tourbillon de sable et s'était retransformés en homme. Il arrivait en courant, épée droit devant, visant un Fye tellement surpris qu'il ne réagit pas. Ce ne fut pas le cas de Mia. Elle analysa rapidement la situation et dans un même geste, sortit son sabre et donna un coup d'épaule à l'Elfe qui s'étala de tout son long dans le sable. Le pirate releva son épée qui croisa le sabre de la jeune Elfe.
Toi... tu m'énerves!
la souveraine ramena son sabre vers elle et opta pour une position de défense. Le pirate comprennant que l'effet de surprise avait échoué, il adopta une autre stratégie. Il fonça tête baissé, épée en avant vers l'Elfe. Mia esquiva et dans le même élan se tourna et abattit son sabre qui trancha le dos de l'ennemi. Il tomba dans le sable et se releva tant bien que mal. Il comprit qu'il n'avait aucune chance alors il se trancha la gorge.
"Pfff... lâche... bon débaras!"
La jeune Elfe reporta son attention sur Fye qui s'était relevé, puis sur Nathanaël qui avait l'air encore plus exténué qu'avant.
"Tu devrais t'assoir, on demandera un cheval.... Il faut que tu te ménages."

Evans vit la scène de loin. Comprenant que les pirates n'étaient pas aussi bêtes que ça, il eut une idée. Il descendit aussi rapidement que possible en boîtant la colline et rejoignit le camp. Là, il retrouva Artnëos avec Taïk.
- Où l'avez-vous trouvé ?
- Dans le camp.
- Vous avez un cheval ?
- Oui, j'en ai trouvé un dans l'écurie.
- Alors suivez-moi.
Le sorcier monta sur son cheval, tant bien que mal, et, suivi d'Artnëos, il sortit du camp au galop. Ils s'éloignèrent rapidement vers un village d'elfes marins, Hîthgaer...

Mia s'approcha de moi et me tendis sa main. Je n'eus pas le temps de la prendre qu'elle préta main forte à Fye à cause d'un pirate les attaquant tantôt sous forme d'aigles tantôt sous forme humaine. C'était le premier pirate que je voyais utiliser de la magie depuis le début des hostilités. La Souveraine des elfs de la nuit interrompit ses pensées.
Tu devrais t'assoir, on demandera un cheval.... Il faut que tu te ménages.
Il faut juste que je regagne le camps pour m'y reposé un moment. Je me suis vidé de toute ma magie. C'est le sort le plus puissant que je connaisse et je ne l'ai que rarement pratiqué. Mais il me semble que je te devrai quelques explications car je pense que j'en ai effrayé plus qu'un! Et je ne suis pas sûr de pouvoir tenir sur un cheval. Les soldat se débroullerons bien un instant sans moi. Mes capitaines sauront quoi faire.
Je titubais pour rejoindre les lignes arrières du camps m'appuyant sur un sabre et puis l'autre. Je devais utiliser mes dernières forces pour prendre appui sur mes bras.

Mia venait de le sauvé ... il n'aurait rien put faire .... a l'heure qu'il était , il serait mort ... en voulant sauvé mia et le souverain , il avait faillit mourir ...


_Mia ... merci .

Fye avait utilisé une grande partie de son pouvoir ...mais voyant que le souverain pouvait a peine tenir sur ses jambes , il lui proposa ceci :

_Votre majesté , monté sur ce nuage de sable que je viens de créé ... vous aussi mia ... il vous mènera au camps

Mia regarda tour à tour Nathanaël et Fye et sourit.
"Je n'en ai pas besoin, mais merci! Je vais retourner avec les miens. Le combat n'a pas l'air d'être encore fini. Si je peux faire quelques choses, je le ferai!"
Et cette fois elle s'adressa à Nath.
"Tu devrais accepter... je ne pense pas que tu puisses atteindre le campement dans ton état. Et bien que je n'en ais pas l'autoritée, je t'interdis de revenir guerroyer avant de t'être reposé... Ah, si tu vas à l'infirmerie tu croiseras sûrement un de tes soldats... l'imbécile galopait comme un fou vers toi et bien sûr il s'est fait touché à la cuisse par une lance. Il est tombé et son cheval qui lui a donné un coup de sabot derrière la tête. Tu devrais lui dire deux mots quand tu t'en sentiras le courage... Repose-toi bien!"
Sur ce elle leur tourna le dos. Mais ne partit pas tout de suite, elle contacta Fye.
"Il faudra que tu m'expliques une fois comment tu fais pour faire voler le sable alors que tu es un Elfe sylvain qui par conséquent ne contrôle pas le vent..."
Elle sourit sans qu'il la voie et courrut vers la mer pour rejoindre les siens.

Alors que mia s'apprettait a partir elle lui parla par la pensé ...

"Il faudra que tu m'expliques une fois comment tu fais pour faire voler le sable alors que tu es un Elfe sylvain qui par conséquent ne contrôle pas le vent..."

Elle n'est vraiment pas bète ...Je lui expliquerais , lorsque la guerre sera terminé , et que je serais un héros de celle ci !

Fye se mit a rougir , il sentit son coeur battre de plus en plus fort et ses yeux se perdirent dans le ciel ...

"Elle ,est ... plutot jolie ...."

Avant que Mai parte, je lui adressai deux-trois mots.
Je reviendrai dès que je pourrai tenir sur mes deux jambes mais je pense malheureusement que ca sera fini. Je crois savoir qui est l'abruti à l'infirmerie...
Mia s'en alla guerroyer avec les siens.
Ca ne peut être qu'Evans. Il va m'entendre pour avoir désobei à un ordre direct!
C'est gentil Fye mais je préfère y retourner à pied.
Je ne supportais pas que l'on m'aide pour me déplacer de plus j'étais conscient et j'arrivais quand même à me déplacer. Je me remis à glopiner vers notre camps.

Le souverain refusa l'aide de Fye qui en fut presque vexé ....celui ci lui tourna le dos et décida donc de retourné aux champs de batailles , là ou il voulait resté en compagnie de Mia ...

"Qu'il est borné ce souverain ...Mais cette guerre se finira t elle un jour? ..."

Il décida d'esayé la telephatie ...après tout , il n'allait pas se ridiculisé puisque personne ne l'entendait ...

"Oh belle Mia , ton décolté est aussi beau qu'une hirondelle dirgadia"

[Fye...modères tes phrases, s'il-te-plaît..>_<]

Enfin, les pirates se retiraient.
Zelda regarda son peuple: il y avait de nombreux morts ainsi qu'une multitude de blessés, mais ils tenaient bon et portaient secours aux plus faibles.
Tout à coup, l'elfe sylvaine vit Mia courir vers elle. Elle l'arrêta au passage.
"Pas trop de dégât?"

[erhm... je ne ferai aucun commentaire...]

Mia courrait aussi vite qu'elle pouvait. A un moment elle sentit une pensée voyager sans but, elle ne si accrocha pas et continua sa route. Elle arriva enfin. Les pirates, acculés au bord de la mer se battaient avec acharnement et tentaient de regagner leurs bateaux.
"Pas trop de dégât?"
Zelda se tenait devant elle.
"Non, ça va... les pirates s'en vont... je dois aller aider mon peuple pour les derniers instants de combat."
La souveraine sourit et partit. Elle contourna la masse de soldat et rejoins ceux de son peuple. Elle reprit le combat en espérant que les Elfes et les sorciers seraient assez intelligents pour laisser fuire les pirates, car elle savait bien que dès que ceux-ci recevraient des ordres, la bataille risquait de tourner à leur désavantage.
Je ne peux pas tous les contacters sans risquer de toucher un pirate... nos soldats doivent réfléchir... mais en sont-ils capable...
La souveraine chassa cette pensée de son esprit.
Je n'ai pas le droit de parler de mon peuple ainsi...
Son sabre trancha un torse et dévia sur la cuisse d'un autre ennemi pour remonter ensuite trancher le cou d'un autre. Le carnage continuait sans relâche, mais déjà un bateau mit les voiles. Les pirates restants sur la plage comprirent que s'ils ne se dépêchaient pas, ils y resteraient sur cette plage et ils y mourraient. Un mouvement de panique s'empara d'eux. Ils se frappaient pour prendre la place d'un autre, se poussaient à l'eau et même se tuaient, si bien que Mia cessa de se battre. Elle courrut sur sa gauche et longea la mer. Un peu à l'écart du combat, elle observa la mer. De nombreux bateaux étaient déjà partis et étaient hors de porté, par contre cinq bateaux restaient encore là. La jeune Elfe se concentra et fit lever le vent qu'elle emplifia pour former un tempête. Sur les cinq navires seuls un s'échappa à grand coup de rame, car son mât s'était brisé. Les quatre autres furent condamné. Des voiles déchirés, des mâts brisés, des rames brisés par les flots violent, bref, l'hécatombe. Des hurlements percèrent le silence quand un pirate se faisait écraser sous une poutre ou s'emmêlait dans un cordage puis tombait à l'eau. Ce n'était pas beau à voir, mais il le fallait. Et ça, Mia le savait.

Evans revint du village côtier des Elfes marins, Hîthgaer, avec son second. Il savait que son plan ne pourrait fonctionner que s'ils laissaient partir les pirates, mais ça, c'était pratiquement certain, puisqu'ils étaient en infériorité numérique. Ils n'allaient pas risquer de se faire tuer alors qu'ils pouvaient terminer la bataille en n'insistant pas. Maintenant, le sorcier devait se faire pardonner auprès de son Souverain, et le convaincre du potentiel de son plan.
Les deux cavaliers arrivèrent donc derrière la colline. Ils avaient demandé à leur cheval de galoper le plus vite possible pour ne pas que quelqu'un s'aperçoive de leur absence. En tout cas, pour l'instant... Les Souverains le sauraient à un moment ou un autre... Evans et Artnëos pénétrèrent dans le camp. Il n'y avait pas l'air d'y avoir plus de monde qu'à leur départ. En tout cas, les armées étaient sur la côte. Du camp, il était difficile de les distinguer. A leur arrivée, pas un seul sorcier ne vint prendre leur cheval.
- Artnëos, retrouvez nos hommes. Quand vous les aurez réunis, venez me voir.
- Bien messire.
Le cavalier resortit du camp, à peine rentrer. Evans, lui, descendit de son cheval. Il laissa son cheval au pied d'une des tours de garde de l'entrée et monta dedans. Là, il ne trouva personne. Il resta là et regarda s'il voyait Nathanaël.

En marchant je recupérais déjà quelques capacités magiques donc physique également. Ca me permit de ranger mes deux sabres dans leur fourreau et continuer péniblement à rentrer au camps. Après de longues minutes, j'arrivais devant ma tente.
Que l'on m'apporte de la viande et une cruche de vin!
Je m'assis sur ma chaise et attendis patiemment que l'on m'apporte ma nourriture. Un Sorcier réaparut dix minutes plus tard chargé de viande et une cruche à son bras. Il déposa le tout devant moi et s'en alla. Une fois que je serai rassasié, j'aurai retrouvé sufisament de forces pour retourner sur le champ de bataille à moins que nos armées seront déjà de retour.

Evans n'attendit pas longtemps avant de voir Nathanaël rentrer au camp. Il se baissa dès qu'il le vit. Après tout, il aurait du retourner se battre jusqu'à la fin de la bataille, même si elle était très proche. Il se décida finalement à descendre de la tour de garde. Il marcha à côté de son cheval jusqu'à l'entrée de la tente du Souverain. Un sorcier sortit de la tente.
- Veuillez prévenir sire Gil-Nalìn de ma présence, et dites-lui que je souhaite le voir.
Le sorcier rentra à l'intérieur et un peu moins d'une minute après, il en resortit.
- Le Souverain accepte de vous voir, Messire.
Evans entra dans la tente et s'agenouilla devant son Souverain, la tête baissée.
- Sire Gil-Nalìn. Veuillez m'excuser de l'attaque précipitée que j'ai lancée... Je suppose que vous allez souhaiter mon départ...
Il leva la tête et lui fit face.
- Néanmoins, cette attaque vous a sûrement sauvés, car les pirates vous aurez entourés et vous aurez massacrés. Néanmoins, je pense que je peux me faire pardonner...
Le Souverain lui jeta un oeil interrogateur. Le sorcier se leva, prit un parchemin, et dessina dessus son projet.
- Comme vous le savez, l'armée ennemie se replie sur son île. Je pense qu'elle reviendra et étant moins nombreux, nous aurons du mal à résister. Je pense que si vous me laissez partir avec 500 hommes, nous pourrions les vaincre. Il suffirait que 150 elfes marins et 150 elfes de la nuit conduisent les navires dans lesquels nous serions. 200 sorciers seraient avec moi. Vous et les autres Souverains se retireraient au Lac Niniel. Les pirates reviendraient et vous suivraient. Pendant ce temps-là, nous brûlerions leurs navires, nous mettrions pied à terre et nous les suivrions. Vous feriez demi-tour et ils seraient alors encerclés. Il nous resterait plus qu'à les massacrer et ensuite à nous emparer de l'île...

La souveraine relâcha son emprise sur le vent et s'assit, haletante, sur le sable chaud. Les quelques pirates qui restaient sur la plage furent rapidement tués.
Nous avons gagné une bataille, mais pas la guerre... c'est loin d'être terminé...
Mia nettoya son sabre avec un bout de tissu qu'elle avait toujours sur elle, puis rangea son arme dans son foureau.
Nous devrions être tranquille pendant quelques jours... nous devons profiter de se répit...
Elle imagina déjà ce qui allait se passer ensuite... soit les pirates allaient revenir en force sur la plage, soit les Elfes et les sorciers allaient vouloir se venger et allaient leur courir après. Soudain, Mia se souvint d'une chose.
Sonia... nous devons aller la rechercher... mais se serait téméraire que d'aller sur l'île d'Asha maintenant, les pirates nous attendrons... leurs chefs vont les blamer, puis tourner la situation à leur avantage. Il vont penser que nous avons une telle soif de vengance que nous allons courir à leur poursuite. Il faut trouver un autre moyen de la ramener... mais lequel... et surtout... en existe-t-il un?

Un Sorcier vint à ma rencontre et demanda audience pour Evans. Je l'acceptais immédiatement voulant savoir quelle raison il allait sortir pour excuser sa désobéicence. Il entra dans la tente et sortit une magnifique tirade et c'était à mon tour de répliquer.
Tu seras puni pour m'avoir désobéi. Tu n'as pas à réfléchir sur les techniques que j'emploie pour remporter cette guerre. Par ta faute on a failli perdre cette bataille! Et tu n'as pas de conseils à me donner pour la suite des événement. Il faut que j'en discute avec les autres Souverains. Et ne crois pas qu'une poignée de soldats viendra à bout de l'île. Les Panthères ne sont pas venu ici et je pense qu'ils sont restés sur l'ìle d'Asha. Il faudra une armée pour la reprendre. Maintenant pars chevalier!
Je me remis à manger et boire du vin. Je serais bientôt prêt pour retourner sur le chmaps de bataille.

Evans sortit après que son Souverain ait fini. Il retrouva ses dix hommes auprès du tente. C'est Artnëos qui fit le premier pas pour connaître les nouvelles.
- Alors ?
- Faites ce qu'il faut dès que nous ne serons plus accompagnés des elfes. Quant à moi, je dois aller voir quelqu'un.
Il fit signe à trois de ses cavaliers de le suivre. Il remonta sur son cheval et s'éloigna de la tente. Après avoir traversé les longues allées du camp, les quatre hommes sortirent du camp. Ils se mirent au galop dès qu'ils eurent passé la porte. Evans songeait qu'il avait cavalé partout depuis qu'il était arrivé. Certains allaient peut-être commencer à s'en apercevoir. De toute façon, il doutait qu'on ait besoin de lui avant que les armées soient rentrées. Ils chevauchèrent donc un long moment et se retrouvèrent à nouveau à Hîthgaer...

"Non, ça va... les pirates s'en vont... je dois aller aider mon peuple pour les derniers instants de combat."
Quels combats? Les pirates se retiraient sur l'eau.
Mais l'elfe compris ce que Mia voulait faire quelques instants plus tard lorsque le vent se leva en bourrasques: elle coulait les flottes ennemies.
Songeant à ce qu'elle pourrait faire, Zelda s'inquiéta soudain pour Nathanaël car elle ne l'avait plus revu depuis le soir précédent.
Se renseignant en chemin, elle se dirigea vers la tente du souverain des sorciers d'où elle vit sortir un jeune homme à l'air résigné.
En entrant dans la tente, elle eût l'impression que l'air était lourd, plein de reproches. Et elle en eu la vérification lorsqu'elle vit les traits tirés de Nathanaël. Ca n'allait pas fort.
"Bonjour! Comment vas-tu?"
Il fallait bien commencer la discussion par un bout et l'elfe sylvaine choisi celui-ci.

[Triple buse, je part à peine cinq jours et il faut que tous les meilleurs moments de la guerre se passe durant mon voayge]

La bataille tournait vers la fin et les pirates fuyaient lachement vers leurs bateaux qui par un revirement de situation, du au pouvoir des elfes de la nuit, étaient détruits.
Plus que le combat c'était les émotions qui avaient affaiblies la jeune elfe, l'attention constante, son coeur qui battait la chamade, la peur lorsqu'une flèche la frolait...
Heureusment elle ne fut pas gravement touchée et ne subit que des blessures superficielles.
Il faut dire qu'elle n'était pas très exposée étant située au extrémité de la bataille.
Quand sa reine leur donna l'ordre de partir au front elle s'exécuta promptemment et partie, son baton aggripé dans ses deux mains, fraccasser les cranes de ces ennemis.
Tout le long du combat elle apprit énormément, autant de ses alliers que de ses opposants assimilant ainsi plusieurs bottes. Mais il y avait une différences entre techniques et pratiques et elle ne se risqua pas à les réutiliser sous peur de baisser sa défence ou de fair eun échec.
Elle perdit totalement la notion du temps et remarqua à peine la course du soleil dans le ciel.
Quand elle aperçu se profiler au loin un homme de feu elle s'arréta de combattre un moment, ahurie par sa vision, et c'est de justesse que le tranchant d'une épée ne manqua sa jambe.
Tout d'abord elle ne s'en approcha point mais lorsqu'elle remarqua qu'il fonçait dans les rangs ennemis provoquant de nombreuses pertes elle sut qu'il n'était pas dangeureux pour elle.
Elle reprit alors la poursuite des pirates, ramassant de temps à autre un poignard sur des cadavres pour les lancer sur ses adversaires.
C'était lache elle le savait mais elle préférait réduire le nombres d'opposants pour la survie des elfes et des sorciers que de respecter les valeurs morales.
Désormais les pirates étaient agglutiner sur les côtes agitant vainement leur bras en direction des navires qui étaient arrivés à s'échaper et ils les massacraient sans pitier.

Evans partit sans omettre des commentaires mais je le ferais suivre. Il devait me cacher quelquechose. Zelda rentra juste après.
Bonjour! Comment vas-tu?
Mieu j'ai retrouvé une grande partie de mes forces. Tu m'excuseras mais il faut que je retourne sur le champs de bataille pour rassembler mon armée qui doit être assez dispersée. Je pense que plus un pirate vivant se trouve sur la plage. Il faudra qu'on discute sur la suite des événements une fois qu'on sera les trois de retour.
Je sortis calmement de ma tente et demandai un cheval. On me l'apporta immédiatement et l'écuyer avait dû m'aider à monter dessus. Je galopais de nouveau vers la plaine me concentrant pour ne pas chuter de mon destrier.